Qu’on ne s’y trompe pas ! Sous l’aspect parfois osseux, chancelant et brut de son art de peu, Joséphine Foster, bien au-delà du petit rôle d’outsider de folk psyché-freak dans lequel les passants pressés voudraient la ranger confortablement, s’inscrit bel et bien dans la lignée des grands compositeurs syncrétiques de la grande Amérique ambivalente ( John Fahey, Harry Partch et Van Dyke Parks), autant qu’un David Garland ou d’unSport Murphy.
Nouvel album en février 2016 « No more Lamps in the Morning’ » (Fire Records).
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