Depuis 20 ans, Lucas Santtana s’est imposé comme l’héritier des plus grands maîtres de la musique brésilienne, orfèvre en chansons à la fois complexes et subtiles. Mais dans le Brésil d’aujourd’hui, en proie à la violence politique, la belle musique ne suffit plus. Lucas Santtana y répond en poète, par la douceur et le minimalisme, dans un huitième album dont on traduit le titre par Le ciel est vieux depuis longtemps. Au Petit Palais en solo guitare-voix, au-dessus des nuages noirs.
Ouverture des portes à 16h15.